Vincent est réveillé par son père pour charger les cagettes de poireaux et faire le marché du samedi matin. Après un copieux déjeuner, il file se laver, enfile sa plus belle chemisette. Tous les trois prennent place dans la camionnette pour aller en ville, ils écoutent et chantent du Renaud à fond, ils sont dépassés par des véhicules qui se rendent au marché pour vendre leurs bons produits. Vincent est chargé par le voisin de stand d'aller acheter des « pistolets », viennoiseries pour tout le monde. Il se dépêche, court les acheter, oublie la monnaie. Il rencontre Marie la fille du fleuriste, elle est jolie, douce et souriante, il tombe sous son charme mais ne sait pas comment l'aborder, mais Jean-Michel le fils du poissonnier hèle la petite fille...
Cette histoire est sympathique, dans ce marché où se croise les habitants de la campagne (les vendeurs de produits frais) et ceux de la ville (la richarde qui veut quarante poireaux identiques). Les enfants jouent, aident, font connaissances.
Cela fait du bien de se retrouver avec tous ses personnages, simples et heureux, à découvrir...